Madame, en réponse à votre lettre du 22 j’ai le regret de vous annoncer qu’à la suite du combat du 12 le soldat Rocher n’a pas reparu à ma compagnie.
De l’enquête à laquelle je me suis livré il résulte que votre mari a du être fait prisonnier mais non blessé
Recevez, madame, mes salutations distinguées