Je ne sais pas pourquoi je ne suis jamais allé chercher le Journal Officiel de la publication de la « récompense » de son sacrifice.
C’est chose faite.
Jean-Marie Bénas avec ses camarades « glorieusement » victimes de la folie meutrière des hommes.
Mort à 20 kilomètres de sa famille, laissant une jeune veuve et un petit garçon de 4 ans. Comme tant d’autres qui n’ont pas voulu ça.