26 mars 1918 : La Guerre Aérienne

Mardi. Alerte à 14h20. A 21h30, trois coups de canon et cinq fusées alertent la défense de la place. A 22h40 un taube survole la ville. Violente canonnade, puis accalmie. A 23H30, l’avion revient. Deux formidables explosions éclatent avenue de la Prairie. Deux bombes sont tombées, l’une au coin ouest d’une serre, entre la maison Roux et la maison de Chabaud-Latour, l’autre à 150 mètres plus à l’est, à la lisière du jardin Naveau. Elles n’ont causé que des dégâts matériels.

le conseil municipal vote des crédits pour organiser des abris souterrains et demande le concours de la main-d’oeuvre militaire.

Livre Montbéliard p. 236

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