Cantonnements de Villeneuve, Belleu, Vauxbuin.
Archives mensuelles : octobre 2014
26 octobre 1914
(Ordre général n°95 – 2ème partie)
Mêmes emplacements, même mission et mêmes travaux que pendant le précédent séjour sur la R.D.
On progresse dans la direction de Cuffies dont on atteint les premières maisons. Une partie du bois de Cuffies est occupée.
Le Miroir du 25 octobre 1914
(cliquez sur l’image pour feuilleter la revue sur Gallica)
25 octobre 1914
(Ordre général n°94 – 2ème partie)
Même emplacements et même mission que du 14 au 17 octobre
Le 25 au soir à 18h30 le 231ème regagne ses emplacements de tranchées sur la R.D. de l’Aisne.
25 octobre 1914
24 octobre 1914
24 octobre 1914
(Ordre général n°93 – 2ème partie)
Même emplacements et même mission que du 14 au 17 octobre
23 octobre 1914
(Ordre général n°92 – 2ème partie)
Même emplacements et même mission que du 14 au 17 octobre
23 octobre 1914
22 octobre 1914 : carte postale envoyée du front
Sur le recto en haut « Nous sommes en repos tout près de Soissons pour 4 jours. Il fait toujours beau temps je crois que chez nous nous il en est de même«
chère Emilienne tout va toujours pour le moment, je crois que pour vous tout va toujours bien, aujourd’hui 22 octobre je n’ais toujours rien reçu, les autres compagnie comment à en recevoir je crois que cela va arriver, cela devient surement des sergents de semaine du 282, il y en a un du 282 qui à parler au capitaine de la compagnie pour les lettres que l’on ne recevez pas il à dit que il à aller son occuper.
En espère tout les jours en recevoir je te garantie que l’on trouve le temps long quand on est si longtemps que cela son recevoir de nouvelles.
Je te dirais que l’on est aussi bien au 231 qu’au 282 mais moins ennuillez des officiers pour les revues qu’au 282. Je n’ais pas grand chose à te dire pour le moment car je t’écrit tous les jours, je crois que tu dois recevoir presque tout les jours des nouvelles.
Je voudrais bien avoir plus de nouvelles que cela pour savoir comme cela se passe au pays. Tu embrasseras toute la famille pour moi.
Georges«